Vos droits, parlons-en

Par le biais de ce questionnaire interactif, nous vous proposons une méthode d’information ludique essayant de répondre au mieux à la situation de chacun.

Cependant, nous attirons votre attention sur le fait qu’il ne s’agit là que d’une évaluation théorique qui ne remplacera jamais l’évaluation technique et professionnelle des différents acteurs des organismes médico-sociaux.

Répondez à chaque question le plus sincèrement possible afin d’avoir un état des lieux des aides que vous pourriez solliciter.

Nous restons à votre disposition pour toute information complémentaire et personnalisée.

    1. Quel est votre âge ?

    I - Votre situation sociale ou celle de votre enfant

    2. Vous ou votre enfant êtes autonome selon votre âge dans la réalisation des Actes de la Vie Quotidienne

    Il est important de ne pas stigmatiser un symptôme du quotidien. Chaque individu est différent et nous avons tous des petites douleurs non significatives. Restez à l'écoute de votre corps ou de celui de votre enfant.

    3. Vous ou votre enfant avez des besoins spécifiques plus importants que les personnes de votre âge. Un parent ou une tierce personne intervient au quotidien ou plusieurs fois par semaine.

    Avez-vous déjà fait un dossier auprès de la MDPH ?

    Votre handicap ou celui de votre enfant a des répercussions sur la gestion du quotidien.
    Sous certaines conditions vous pourriez prétendre à l'Allocation d'Education de l'Enfant Handicapé (AEEH)

    Percevez-vous l'Allocation d'Education pour Enfant Handicapé (AEEH) ?

    Percevez-vous le complément d'AEEH ?

    Sous certaines conditions de dépendance et de perte d'autonomie, vous pourriez percevoir la Prestation de Compensation du Handicap (PCH)

    Votre handicap ou celui de votre enfant a des répercussions sur la gestion du quotidien.
    Sous certaines conditions vous pourriez prétendre à l'Allocation d'Education de l'Enfant Handicapé (AEEH)

    4. Vous, ou votre enfant, éprouvez des difficultés à vous déplacer à pied ? Vous utilisez une ou deux cannes ou un fauteuil roulant ? Vous buttez dans les obstacles et risquez régulièrement de tomber voire de tomber tout court ?

    Vous pouvez solliciter une Carte Mobilité Inclusion (CMI).

    Il en existe trois différentes en fonction de votre situation de handicap et donc de vos besoins :

    CMI invalidité :

    Elle remplace la carte d'invalidité depuis le 1er janvier 2017. Elle peut vous être attribuée si :
    * vous avez un taux d'incapacité d'au moins 80%
    * vous êtes invalide de troisième catégorie

    CMI priorité :

    Elle vous est attribuée si votre taux de handicap se situe entre 50 et 79% rendant la station debout pénible.

    CMI Stationnement :

    Elle vous est attribuée si vous êtes atteint d'un handicap qui :
    * réduit de manière importante et durable votre capacité à vous déplacer à pied
    * ou qui impose que vous soyez accompagné par une tierce personne dans vos déplacements

    N'hésitez pas à contacter la MDPH de votre département

    II – Votre situation scolaire ou celle de votre enfant

    5. Votre enfant ou vous rencontrez des difficultés durant la scolarité en raison de problèmes de santé.

    S'il s'agit de vous, prenez contact avec votre enseignant principal afin d'aborder avec lui vos difficultés. Si vous êtes mineur, faites cette démarche accompagné de vos parents ou tuteur légal.

    S'il s'agit de votre enfant, prenez contact avec son enseignant principal quelque soit la classe dans laquelle il se trouve.

    Dans tous les cas, si vous avez le sentiment de ne pas être entendu ou compris, vous avez le droit de contacter la direction de l'école, du collège ou du lycée afin de vous faire entendre.

    Il pourra alors vous être proposé de mettre en place un dispositif adapté au bon suivi des difficultés rencontrées. Il en existe plusieurs en fonction des situations et des besoins. Ces dispositifs sont à aborder directement avec le corps enseignant. Cependant, nous vous en apportons ici une explication synthétique afin de vous aider à mieux comprendre le rôle de chacun.

    Le Projet d'accueil Individualisé (PAI)

    Le programme Personnalisé de Réussite Scolaire (PPRE)

    Le Programme Personnalisé de Scolarisation (PPS)

    Le Guide d'EVAluation des besoins en matière de SCOlarisation (GEVA-SCO)

    N'hésitez pas à contacter la MDPH de votre département

    Il est important de ne pas stigmatiser un symptôme du quotidien. Chaque individu est différent et nous avons tous des capacités différentes de recevoir et comprendre et acquérir les apprentissages scolaires. Restez à l'écoute de votre corps ou de celui de votre enfant.

    I - Votre situation sociale

    2. Lorsque vous vous levez le matin, malgré vos douleurs et la lenteur qui peuvent être liées à votre état de santé, le faites-vous seul, sans l'aide d'une tierce personne ?

    Vous faites votre toilette seul, préparez seul votre petit déjeuner ou repas et le mangez seul à votre rythme ?

    Il est important de ne pas stigmatiser un symptôme du quotidien. Chaque individu est différent et nous avons tous des petites douleurs non significatives. Restez à l'écoute de votre corps. Il existe des aides techniques très abordables qui permettent parfois, en mettant « un pansement » sur une petite difficulté, de conserver son autonomie bien plus longtemps.

    Vous semblez éprouver des difficultés dans l'accomplissement d'un ou plusieurs actes de la vie quotidienne.

    Selon votre état de handicap et après son évaluation par l'équipe technique de la MDPH et décision de la CDAPH, vous pourriez prétendre à l'attribution de la Prestation de Compensation du Handicap (PCH).

    Vous semblez éprouver des difficultés dans l'accomplissement d'un ou plusieurs actes de la vie quotidienne.

    Selon votre état de handicap et après son évaluation par l'équipe technique de la MDPH et décision de la CDAPH, vous pourriez prétendre à l'attribution de la Prestation de Compensation du Handicap (PCH).

    3. Vous éprouvez des difficultés à vous déplacer à pied ? Vous utilisez une ou deux cannes ou un fauteuil roulant ? Vous buttez dans les obstacles et risquez régulièrement de tomber voire de tomber tout court ?

    Vous pouvez solliciter une Carte Mobilité Inclusion (CMI).

    Il en existe trois différentes en fonction de votre situation de handicap et donc de vos besoins :

    CMI invalidité :

    Elle remplace la carte d'invalidité depuis le 1er janvier 2017. Elle peut vous être attribuée si :
    * vous avez un taux d'incapacité d'au moins 80%
    * vous êtes invalide de troisième catégorie

    CMI priorité :

    Elle vous est attribuée si votre taux de handicap se situe entre 50 et 79% rendant la station debout pénible.

    CMI Stationnement :

    Elle vous est attribuée si vous êtes atteint d'un handicap qui :
    * réduit de manière importante et durable votre capacité à vous déplacer à pied
    * ou qui impose que vous soyez accompagné par une tierce personne dans vos déplacements

    N'hésitez pas à contacter la MDPH de votre département

    II - Votre situation scolaire ou professionnelle

    4. Vous exercez une activité professionnelle ?

    Votre poste de travail vous permet d'exercer convenablement votre activité professionnelles, vous horaires sont adaptés à vos capacités physiques et/ou cognitives ?

    C'est une très bonne chose. Sachez cependant que la médecine du travail est un allié lorsque l'on souffre d'une maladie chronique qui s'immiscerait progressivement dans votre profession. N'hésitez pas à prendre rendez-vous pour aborder vos difficultés et envisager ensemble des solutions adaptées. Comme tous médecins, le médecin du travail est soumis au secret professionnel.

    Nous vous invitons à vous mettre en contact avec la médecine du travail dont vous dépendez afin d'aborder vos difficultés ensemble.

    Dans le même temps, il faut envisager un dossier MDPH afin de solliciter une Reconnaissance en Qualité de Travailleur Handicapé (RQTH) auprès de la MDPH.

    Formulaire MDPH
    Certificat médical MDPH

    N'hésitez pas à contacter la MDPH de votre département

    La RQTH accordée, en collaboration avec la médecine du travail, vous allez être mis en contact avec le Service d'Appui au Maintien à l'Emploi des Travailleurs Handicapés (SAMETH). Ainsi, il sera travaillé avec vous une évaluation des difficultés rencontrées sur votre poste de travail et vous pourrez ainsi envisager le poste type vous permettant d'exercer en limitant au maximum les mises en danger.

    Vous êtes actuellement sans activité professionnelle :

    Êtes-vous inscrit(e) à Pôle Emploi ?

    Éprouvez-vous des difficultés du fait de votre handicap ?

    Dans un premier temps, il est important de faire reconnaître l'impact de votre handicap sur vos conditions de travail.
    Pour se faire, vous allez devoir solliciter une Reconnaissance en Qualité de Travailleur Handicapé (RQTH) auprès de la MDPH.

    Formulaire MDPH
    Certificat médical MDPH

    N'hésitez pas à contacter la MDPH de votre département

    Nous vous souhaitons beaucoup de courage dans cette étape de la vie professionnelle qui peut parfois sembler compliquée et sans fin. Bonne recherche de travail.

    Votre handicap est-il devenu un frein à votre recherche d'emploi ou votre capacité de travail a t'elle été considérablement réduite ?

    Si vous en remplissez les conditions d'attribution, Vous pourriez prétendre à l'Allocation Adulte Handicapé (AAH)

    Si vous avez envie de reprendre une activité professionnelle, nous vous invitons à vous inscrire auprès de Pôle Emploi comme demandeur d'emploi.

    Au cours de votre arrêt maladie, vous allez être convoqué(e) régulièrement par le médecin conseil de la CPAM. Lors de ces contrôle, ce dernier va évaluer votre capacité à reprendre le travail ou non. Il peut alors prendre la décision de :

    • valider l'arrêt maladie en cours pour une durée déterminée avant une nouvelle convocation
    • vous accompagner vers une reprise du travail. Il y aura alors une évaluation des besoins en vue de cette reprise. Vous rencontrerez le médecin du travail pour faire le point sur vos conditions de travail et vos capacités liées à votre état de santé. Il pourra alors vous être proposé de solliciter dans un premier temps, une Reconnaissance en Qualité de Travailleur Handicapé RQTH en vue d'une adaptation de votre poste ou de votre temps de travail.
    Par la suite, en lien avec la médecine du travail, vous pourrez rencontre le Service d'Appui au Maintien à l'Emploi des Travailleurs Handicapés (SAMETH). Il pourra alors aussi vous être proposé une reprise à temps plein ou en temps partiel thérapeutique
    • évaluer que vous êtes inapte à reprendre votre poste de travail en collaboration avec le médecin du travail. Toutefois, vous pouvez être apte à exercer d'autres fonctions dans votre entreprise. Vous pouvez bénéficier alors d'un reclassement vers un emploi adapté à vos capacités physiques.
    Cependant, dans certains cas, il n'existe pas de poste adapté à vos capacités physiques dans votre entreprise. Dès lors, le médecin du travail peut prendre la décision de vous classer en inaptitude. Au terme d'une procédure bien définie, vous serez alors licencié pour inaptitude.
    • SI votre capacité de travail a diminué de 2/3, le médecin conseil peut enclencher une mise en invalidité.

    N'hésitez pas à contacter la MDPH de votre département

    I - Votre situation sociale

    2. Lorsque vous vous levez le matin, malgré vos douleurs et la lenteur qui peuvent être liées à votre état de santé, le faites-vous seul, sans l'aide d'une tierce personne ?

    Vous faites votre toilette seul, préparez seul votre petit déjeuner ou repas et le mangez seul à votre rythme ?

    Il est important de ne pas stigmatiser un symptôme du quotidien. Chaque individu est différent et nous avons tous des petites douleurs non significatives. Restez à l'écoute de votre corps. Il existe des aides techniques très abordables qui permettent parfois, en mettant « un pansement » sur une petite difficulté, de conserver son autonomie bien plus longtemps.

    Vous semblez éprouver des difficultés dans l'accomplissement d'un ou plusieurs actes de la vie quotidienne.

    Selon votre état de handicap et après son évaluation par l'équipe technique de MDPH et décision de la CDAPH, vous pourriez prétendre à l'attribution de la Prestation de Compensation du Handicap (PCH).

    Vous semblez éprouver des difficultés dans l'accomplissement d'un ou plusieurs actes de la vie quotidienne.

    Selon votre état de handicap et après son évaluation par l'équipe technique de MDPH et décision de la CDAPH, vous pourriez prétendre à l'attribution de la Prestation de Compensation du Handicap (PCH).

    Vous avez entre 60 et 65 ans et votre handicap a été reconnu avant vos 60 ans ?

    Selon votre état de handicap et après son évaluation par l'équipe technique de MDPH et décision de la CDAPH, vous pourriez prétendre à l'attribution de la Prestation de Compensation du Handicap (PCH).

    Votre état de santé peut vous ouvrir des droit à percevoir l'Allocation Personnalisée d'Autonomie (APA).

    3. Vous éprouvez des difficultés à vous déplacer à pied ? Vous utilisez une ou deux cannes ou un fauteuil roulant ? Vous buttez dans les obstacles et risquez régulièrement de tomber voire de tomber tout court ?

    Vous pouvez solliciter une Carte Mobilité Inclusion (CMI).

    Il en existe trois différentes en fonction de votre situation de handicap et donc de vos besoins :

    CMI invalidité :

    Elle remplace la carte d'invalidité depuis le 1er janvier 2017. Elle peut vous être attribuée si :
    * vous avez un taux d'incapacité d'au moins 80%
    * vous êtes invalide de troisième catégorie

    CMI priorité :

    Elle vous est attribuée si votre taux de handicap se situe entre 50 et 79% rendant la station debout pénible.

    CMI Stationnement :

    Elle vous est attribuée si vous êtes atteint d'un handicap qui :
    * réduit de manière importante et durable votre capacité à vous déplacer à pied
    * ou qui impose que vous soyez accompagné par une tierce personne dans vos déplacements

    N'hésitez pas à contacter la MDPH de votre département

    II- Votre situation professionnelle ou votre retraite

    4. Quel âge avez vous ?

    Êtes vous encore en activité ?

    Votre poste de travail vous permet d'exercer convenablement votre activité professionnelles, vous horaires sont adaptés à vos capacités physiques et/ou cognitives ?

    C'est une très bonne chose. Sachez cependant que la médecine du travail est un allié lorsque l'on souffre d'une maladie chronique qui s'immiscerait progressivement dans votre profession. N'hésitez pas à prendre rendez-vous pour aborder vos difficultés et envisager ensemble des solutions adaptées. Comme tous médecins, le médecin du travail est soumis au secret professionnel.

    Nous vous invitons à vous mettre en contact avec la médecine du travail dont vous dépendez afin d'aborder vos difficultés ensemble.

    Dans le même temps, il faut envisager un dossier MDPH afin de solliciter une Reconnaissance en Qualité de Travailleur Handicapé (RQTH) auprès de la MDPH.

    Formulaire MDPH
    Certificat médical MDPH

    N'hésitez pas à contacter la MDPH de votre département

    La RQTH accordée, en collaboration avec la médecine du travail, vous allez être mis en contact avec le Service d'Appui au Maintien à l'Emploi des Travailleurs Handicapés (SAMETH). Ainsi, il sera travaillé avec vous une évaluation des difficultés rencontrées sur votre poste de travail et vous pourrez ainsi envisager le poste type vous permettant d'exercer en limitant au maximum les mises en danger.

    Vous êtes actuellement sans activité professionnelle :

    Êtes-vous inscrit(e) à Pôle Emploi ?

    Éprouvez-vous des difficultés du fait de votre handicap ?

    Dans un premier temps, il est important de faire reconnaître l'impact de votre handicap sur vos conditions de travail.
    Pour se faire, vous allez devoir solliciter une Reconnaissance en Qualité de Travailleur Handicapé (RQTH) auprès de la MDPH.

    Formulaire MDPH
    Certificat médical MDPH

    N'hésitez pas à contacter la MDPH de votre département

    Nous vous souhaitons beaucoup de courage dans cette étape de la vie professionnelle qui peut parfois sembler compliquée et sans fin. Bonne recherche de travail.

    Votre handicap est-il devenu un frein à votre recherche d'emploi ou votre capacité de travail a t'elle été considérablement réduite ?

    Si vous en remplissez les conditions d'attribution, Vous pourriez prétendre à l'Allocation Adulte Handicapé (AAH)

    Si vous avez envie de reprendre une activité professionnelle, nous vous invitons à vous inscrire auprès de Pôle Emploi comme demandeur d'emploi.

    Au cours de votre arrêt maladie, vous allez être convoquée régulièrement par le médecin conseil de la CPAM. Lors de ces contrôle, ce dernier va évaluer votre capacité à reprendre le travail ou non. Il peut alors prendre la décision de :

    • valider l'arrêt maladie en cours pour une durée déterminée avant une nouvelle convocation
    • vous accompagner vers une reprise du travail. Il y aura alors une évaluation des besoins en vue de cette reprise. Vous rencontrerez le médecin du travail pour faire le point sur vos conditions de travail et vos capacités liées à votre état de santé. Il pourra alors vous être proposé de solliciter dans un premier temps, une Reconnaissance en Qualité de Travailleur Handicapé (RQTH) en vue d'une adaptation de votre poste ou de votre temps de travail.
    Par la suite, en lien avec la médecine du travail, vous pourrez rencontre le Service d'Appui au Maintien à l'Emploi des Travailleurs Handicapés (SAMETH). Il pourra alors aussi vous être proposé une reprise à temps plein ou en temps partiel thérapeutique.
    • évaluer que vous êtes inapte à reprendre votre poste de travail en collaboration avec le médecin du travail. Toutefois, vous pouvez être apte à exercer d'autres fonctions dans votre entreprise. Vous pouvez bénéficier alors d'un reclassement vers un emploi adapté à vos capacités physiques.
    Cependant, dans certains cas, il n'existe pas de poste adapté à vos capacités physiques dans votre entreprise. Dès lors, le médecin du travail peut prendre la décision de vous classer en inaptitude. Au terme d'une procédure bien définie, vous serez alors licencié pour inaptitude.
    • SI votre capacité de travail a diminué de 2/3, le médecin conseil peut enclencher une mise en invalidité.

    N'hésitez pas à contacter la MDPH de votre département

    Sauf cas particulier, vous êtes en retraite. Reposez vous.